Terrorisme d’extrême-droite : le silence complice du ministre de l’intérieur

Deux jours après les attaques néonazies dimanche 16 février, dans le 10ème arrondissement de Paris, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, n’avait toujours pas réagi. Je suis donc intervenu lors de la séance des questions au gouvernement, pour l’interpeller mais aussi et surtout pour en appeler au sursaut de tous les démocrates face aux menaces croissantes du néofascisme. La France n’échappe pas au danger de la peste brune, qui gagne partout.

Sa réponse fut aussi édifiante que scandaleuse : toujours pas un mot pour les victimes, il signe là un silence complice. Décryptage pour le groupe écologiste et social